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Heiwana Murasaki
Manjushage
Heiwana Murasaki
Manjushage
https://mononoaware.forumactif.com/t194-murasaki-un-yokai-une-ame
Jeu 18 Fév - 23:29
  
fiche-11.jpg
  • HEIWANA Murasaki  (PAISIBLE Violet)

  • Tsukumogami,  féminine. 100 ans en tant qu'arme et 120 en tant qu'esprit

  • Mercenaire

fiche-10.jpg
" Une lame n'a pas de défaut, ce sont les manieurs qui s'émoussent.  "


Bénédiction / Pouvoir
Uniquement valable pour les descendants des Kami et les Yōkai. Pour rappel, votre pouvoir doit suivre la règle suivante :

Effet : Murasaki peut manifester sa forme d'arme. Soit elle se transforme elle-même en arme, soit elle fait apparaître une réplique de sa forme d'arme. La lame qui en découle est affûtée comme au premier jour de sa conception et d'une plus grande robustesse que les lames classiques.

Limite :  Quand elle se transforme en arme, elle peut apparaître dans un fourreau aux couleurs des vêtements qu'elle porte, soit elle n'est pas dans un fourreau et les vêtements sont laissés au sol, ce qui sous-entend qu'en reprenant une forme humaine elle se retrouver dans son plus simple appareil, pour la seconde situation. Il est bon à noter qu'elle entend et ressent tout sous sa forme d'arme.

Pour faire apparaître une réplique de sa forme d'arme, elle peut se passer d'un objet à tenir, mais la contrepartie est plus importante, faute de forme de base sur laquelle baser cette manifestation. La base servant à la manifestation n'est pas consommée, réapparaissant une fois le pouvoir annulé, briser la manifestation revient à briser la base qui a été utilisée.

Si elle se brise sous forme d'arme, il faudra attendre un mois, après avoir été reforgée, pour pouvoir reprendre une forme humaine. De l'autre côté, si elle est trop faible en forme humaine (maladie, empoisonnement, drogue, blessures trop importante, etc), elle ne peut prendre une forme d'arme ou utiliser son pouvoir. La mort sous forme humaine implique une mort de l'âme du yokai, la forme humaine étant une matérialisation de l'âme de Murasaki.

Contrepartie : Pour la transformation en arme elle ressent les échanges, les chocs. Une fêlure sur son apparence originelle se traduira par une douleur identique à une coupure sur un corps humain. Quand elle reprend une forme humaine, son corps est faible, peinant à se maintenir debout, devant attendre une bonne heure avant de pouvoir se déplacer sans bâton.

Pour ce qui est de la manifestation d'une réplique, Murasaki ressent une douleur qui parcourt tout son corps comme si on arrachait la moitié de son corps, sapant sa force mentale avec le temps pour contrer cette douleur. L'explication se faisant qu'elle divise son essence en deux, la douleur étant le fait que les deux parties veulent se réunir. Avec une base, la sensation est similaire à des aiguilles plantées dans le corps, cela est moins douloureux, mais reste pesant mentalement sur la longueur.

Que cela soit la transformation ou la manifestation d'une réplique, elle est accompagnée de flammes violettes, pouvant faire croire qu'elle est possédée par un yokai malfaisant.


Physique & caractère
Physique : Murasaki, sous sa forme humaine, fait un mètre cinquante, pour un poids de quarante kilogrammes. Elle possède une peau bronzée, ce qui attire indéniablement les regards, comme ses yeux et sa chevelure qui sont argentés. Il est bon à noter que lorsqu'elle utilise son pouvoir, ses yeux virent aux dorées, pouvant en intimider plus d'un.

On peut observer sur ses bras et ses jambes une fine musculature, preuve de ses nombreuses heures d'entraînement aux arts de l'épée. En faisant abstraction de cette musculature, elle a de jolies formes féminine et des atours pour le moins développés, bien que souvent dissimulés sous des vêtements amples.

Murasaki a travaillé son corps pour permettre le combat sans arme, ayant une souplesse acceptable et une endurance pratique pour les combats ou les activités en nécessitant.

Le point noir de cette présentation presque parfaite ? Du fait de son poids plume, elle peut facilement se faire repousser, tout comme elle n'a pas des poumons entraînés à la natation, la rendant donc vulnérable aux prises coupant la respiration.

En terme de vêtement, elle porte une tenue traditionnelle, avec une cape noire sur les épaules, rabattant la capuche quand elle doit se fondre chez les humains, cachant une grande partie de son visage et ne laissant voir que la partie inférieure allant du menton au nez.

Elle porte Hiiro no Yuki (Neige Ecarlate) sur sa hanche droite, un katana assez basique en apparence et qui a une garde blanche, le fourreau étant de couleur bordeaux, ce qui explique pourquoi Murasaki a nommée cette arme ainsi.

Sous sa forme de nodachi, elle est assez singulière, un mètre cinquante de longueur, pour un poids assez lourd en main, normal pour une arme de cette taille. La garde est rectangulaire, les lignes droites courbant légèrement vers le centre de l'arme, d'une couleur noir, le manche est strié de cercle rouge et fendu par une ligne dorée. Derrière la garde se trouve un symbole qui doit certainement être la signature du forgeron qui l'a conçu, preuve qu'il croyait en la robustesse de sa création.
Venons en à la lame, assez sombre par rapport aux productions classiques, du fait d'une concentration plus importante de manganèse dans l'alliage et la présence d'un creuset au milieu de la largeur, afin d'évacuer le sang, évitant à l'arme de coller au fourreau.

Caractère : Murasaki défend farouchement l'idée qu'une arme est comme un être vivant et qu'elle mérite du respect et des soins, comme l'on soignerait un blessé.  Peut-être qu'intérieurement, elle trouve déchirante l'idée qu'elle fait partie des privilégiés ayant passé la centaine année d'existence.

Concernant l'entretient d'Hiiro no Yuki, elle a une pratique à la limite religieuse, venant à retirer la moindre trace de sang, cherchant la moindre éraflure. Elle est très proche du katana, en terme humain, on pourrait estimer qu'Hiiro no Yuki est une petite soeur pour Murasaki. Elle est ultra-protectrice envers le katana, la gardant toujours contre elle, même quand elle dort. Insulter le katana ou chercher à le toucher sans l'autorisation de Murasaki pourrait vous attirer un regard noir ... dans le meilleur des cas.
Concernant les autres objets, elle avisera selon leurs états, un objet impossible à réparé sera enterré, là où un objet récupérable sera pris, réparé et cédé à un humain qui saura s'en servir dignement.

Dans le cadre de la vie de tous les jours, Murasaki n'est pas une personne qui est portée sur le blabla inutile. Elle dit clairement le fond de sa pensée, n'hésite pas à mettre en avant son raisonnement sur un problème et aussi n'est pas du genre à tournée autour du pot pendant des heures quand il faut donner une réponse à une proposition.  
Malgré son apparence qui peut intimider, elle est très serviable envers les membres du Manjushage. Elle n'est pas encore assez familiarisée avec les autres clans pour avoir un avis sur eux. Par contre, elle sera tout à fait capable de faire face à une personnalité importante, si elle fait un écart envers les Manjushages. Pour ce qui est des yokai, elle avisera selon leurs attitudes.

Murasaki est facilement impressionnée par les objets forgés ou encore la nourriture, étant habituée à des plats fade et pouvant montrer un visage d'enfant ébahi devant plat quelque peu arrangé. Si elle tient modérément l'alcool, il est impératif de ne pas mettre d'épice sans quoi, elle va se mettre à brailler que sa gorge la brûle, après quelques secondes à essayer de se tenir et faire la forte.

Elle réfrène l'envie de boire du sang frais, ne sachant pas s'il s'agit d'un simple plaisir inavouable ou sa condition de yokai. Murasaki ne peut donc pas rester insensible devant un personne saignant ou un endroit baignant de sang.

Sa mémoire est une bénédiction, mais aussi une malédiction. Malédiction par le fait qu'elle possède des souvenirs d'un temps anciens emplit de terreur et de sang. Malédictions, car elle sait des choses qu'elle voudrait oublier. Bénédiction, car c'est cette même mémoire qui a permis de survivre jusqu'à maintenant et ne pas devenir un yokai rongé par la folie de la vengeance. Murasaki apprend vite, mais est assez prompt à laisser parler son instinct quand elle n'arrive pas à trouver une réponse logique à la situation.
D'ailleurs, sa façon de se battre est spéciale, des coups basique et efficace, tout en frappant instinctivement les points faibles des armure ou les endroits mortels. Son style de combat peut se résumer en une phrase, donner la mort le plus rapidement possible.


Héritage
Elle a récupéré le katana de son maître, qu'elle a baptisé Hiiro no Yuki. Elle a une excellente maîtrise du nodachi, sa maîtrise du katana est moins travaillée, mais reste suffisante pour combattre nombre de bandits.


Histoire
fiche_10.jpg
Murasaki est né, en l'ère 1057, des mains d'un forgeron qui voulait créer une arme capable d'abattre un cheval et un ogre d'un seul coup. Il vint à ternir la lame en y apportant une bonne quantité de manganèse, afin de se rapprocher au plus possible du noir. Après des années de façonnage, il parvint à obtenir une épée de bonne facture. Cependant, il n'eut pas le temps de la vendre, venant à périr de maladie. Sa famille vint à l'enterrer avec sa dernière création, création qui fut oubliée pendant une soixantaine d'années, avant que des pilleurs ne la ressortent  et l'utilisent à mauvais escient.

Pendant une dizaine d'années, elle fut utilisée pour intimider et le cas échant, faucher des vies. Le manque de soins apporté la rendit émoussée et répugnante. Les bandits ne purent l'utiliser davantage, se faisant éradiquer par un groupe de mercenaire qui récupérèrent l'arme et se mirent à être intrigué par cette lame sombre. Cette lame vint à causer des conflits, avant que le dernier arrivé ne vient à annoncer qu'il comptait la restaurer. Aucun n'émirent une opposition, remettre une telle arme en état coûtait une petite fortune, ne serait-ce que par la taille de l'arme et aussi les spécificités qui en découlent.

Murasaki fut emmenée à un forgeron de renom, qui passa de nombreux jours à retirer les souillures, analyser la lame et tenter de la restaurer. Ce qui en découla fut une lame qui n'était pas aussi tranchante qu'un katana, mais dont le poids viendrait à pallier cette faiblesse. Le mercenaire fut presque sans le sou en payant la réparation.

Quelques années après sa restauration, le mercenaire vint à stopper son activité, se mariant et formant un foyer avec une très jolie femme, l'homme pensant que le nodachi avait certainement été béni par un kami de la chance, car il ne manqua de rien, sans pour autant être extrêmement riche.

L'enfant qui naquit de se couple se forma aux armes, dans le but de subvenir à ses besoins en tant que mercenaire, ce qui n'était pas au goût de sa mère, mais son père vint à lui confier Murasaki, disant que cette lame pourrait lui être d'un grand secours. La coïncidence, ou intervention divine, voulu que l'arme s'éveille quelques jours avant le départ du foyer. Elle observait son ancien manieur, ressentant en fond d'elle tout le respect qu'elle avait reçu de sa part. Comprenant qu'elle pouvait effrayer sous sa forme humaine, elle reprit sa forme d'arme.

Elle resta discrète, ressentant les entraînements du jeune mercenaire, les combats, le sang qui coulait sur sa lame, mais aussi le soin qu'elle recevait pour rester tranchante et utile. Murasaki ne reprenait forme humaine que la nuit tombée, quand son nouveau manieur dormait, l'observant silencieusement, osant le toucher délicatement. Pendant sept années, elle restait aux yeux de son maître une simple arme, mais l'homme avait besoin d'un katana, se rendant compte que si le nodachi avait un pouvoir intimidant et destructeur, il n'était pas aussi facile à manier.

Murasaki ressentit de la jalousie, étant prête à utiliser son pouvoir pour briser cette rivale. Mais elle retint son geste, se disant que même en présence de son maître, elle avait toujours été seule, acceptant le katana comme une compagnie, son sentiment venant à devenir plus protecteur au fil du temps.

Alors qu'elle avait à présent dix ans de conscience, son maître vint à s'attaquer à des bandits bien plus coriaces, se faisant transpercer la poitrine. Voulant protéger son manieur et sous une haine incontrôlable, Murasaki jaillit dans une gerbe de flammes violette, matérialisant le nodachi dans sa main e venant à trancher les bandits sans aucune pitié, le premier coup décapita deux bandits, le second trancha le ventre de trois et elle transperça le coeur du dernier. Son maître fut effrayé en premier lieu, voyant ce démon jaillir de nul part avec un regard emplit de haine, avant de la voir prendre une expression plus inquiète, cherchant à l'aider.

Il tenta de refuser en premier lieu. Mais, ne pouvant pas bien marcher, il devait se résigner à être soutenu par la tsukumogami. Il fut emmené chez un médecin, Murasaki se fit passer pour une voyageuse malchanceuse que cet homme avait sauvé d'une attaque d'un yokai qui avait prit la couleur de ses yeux et ses cheveux, tout en assombrissant sa peau. Elle resta au chevet de l'homme toute la nuit, se rendant compte que sous sa forme humaine, elle connaissait la sensation de faim et de fatigue.

Une fois, l'homme remit en état, Murasaki reçu l'ordre de prendre sa forme d'arme. Elle ne se fit appeler sous sa forme humaine que deux jours plus tard, dans une cabane abandonnée. Le mercenaire vint à discuter longuement, avant de prendre sa décision, apprenant qu'elle n'avait pas pris son apparence humaine pour ne pas l'effrayer et servir en tant qu'arme fidèle à son maître. l'homme poussa u soupire avant de répéter qu'il avait eu sa vie épargnée par son intervention, n'aimant pas l'idée de contracter une telle dette. Il vint à la demander de partir, estimant que ne pas l'avoir emmené auprès d'un moine pour la purifier payait sa dette.

La tsukumogami se mit à avoir le coeur qui la serrait, se retrouver seule la faisait terriblement mal et elle se positionna en seiza, posant son front contre le sol. Dans cette posture, elle demanda si elle pouvait recevoir un cadeau d'adieux pour ne pas l'oublier. L'homme vint à tendre le katana, disant qu'il ne souhaitait pas avoir un second monstre à ses côtés et qu'il demanderait à forger sa propre lame, pour éviter cette mésaventure. Réel dégoût ou autre chose de plus bienfaisant, elle prit le katana et partit une fois la nuit tombée.

Murasaki vint à continuer l'oeuvre de son ancien maître, à savoir accomplir la quête des Manjushages , mais aussi une quête personnelle : élever Hiiro no Yuki, pour qu'elle puisse la surpasser que cela soit en beauté qu'en sagesse, tout en évitant au possible de la faire goûter le sang.

Elle se trouva un nom, Murasaki, en référence à la couleur des flammes des manifestations de son pouvoir et Heiwana, pour le souhait d'obtenir une vie adaptée à l'éducation d'Hiiro no Yuki, quand le katana s'éveillera en tant que Tsukumogami.

Murasaki parcourut un peu le domaine, venant à chasser les bandits et les yokais qui se montraient nuisible. Elle apparaissait, frappait et disparaissait dans l'obscurité, telle une ombre. Il était difficile de la remercier ou de la voir réellement, seule sa chevelure argentée et ses getas en fer étaient la marque des témoignages.

Au fil de ses sauvetages et de ses actions, elle vint à attirer des regards, ne sachant pas qu'elle était recherchée pour récompenser ses bonnes actions. Réelle envie de récompenser ou simple mouvement d'échiquier politique, elle finit par se faire intercepter par des gardes. Croyant que l'on allait attenter à sa vie, elle voulu fuir, mais un kitsune se présenta pour annoncer qu'elle était attendu.
Murasaki sentait qu'elle ne pouvait fuir, le yokai dégageant une aura qui la faisait frissonner, étant comme une souris prise dans les anneaux d'un serpent. Elle se laissa donc conduire au Lycoris rouge, faisant un crochet pour être davantage présentable.
Par la suite, on vint à la questionner sur les nombreux témoignages et aussi chercher à savoir son but, chose qu'elle répondit sans détour. Pendant toute la partie discussion, elle tenait fermement Hiiro no Yuki, prête à la défendre au péril de sa vie.
Elle fut surprise de se faire récompenser, ayant toujours pensé que son statut de yokai serait mal vu. Murasaki reçu l'adoubement et jura de continuer à servir le clan dans sa quête, ainsi que de le protéger. Par la suite, elle ne faillit pas dans ses actions, ne voyant pas la tempête arriver.

Elle connut la chasse aux traîtres, ce fut une période sombre. Murasaki se refusait à voir les membres de son clan se faire massacrer sans réagir, venant à s'interposer et tuer sans pitié les membres des autres clans, pour sauver le plus de vie possible. Certains ne purent réchapper à la mort, d'autres parvinrent à survivre. Cette période fut critique pour Murasaki, devant éviter de se faire capturer, panser ses plaies et aussi dire adieu à son fourreau, ce dernier étant devenu trop abîmé a cause des combats, venant à perdre la tenue qu'elle avait toujours portées depuis sa naissance.
Cette période sombre mit en évidence le fait qu'elle restait un monstre trouvant du plaisir à boire du sang, comprenant que si elle souhaitait rester une fidèle au clan Manjushage, elle devait s'interdire de sombrer à l'état de monstre assoiffée de sang et de tuerie.

Pendant les soixante années suivant la chute du clan et la perte de leur symbole, elle vint à se faire discrète, portant des guenilles, dissimulant son visage et trempant ses cheveux dans la boue, afin de cacher la couleur. Murasaki vint à observer les ruines de son clan se reconstruire doucement, ne pouvant qu'observer, la rage au ventre d'une telle vision.

Après avoir repris du poil de la bête. La yokai vint à reprendre sa chasse des bandits, agissant cependant de manière plus subtile, s'exposant volontairement aux attaques en se faisant passer pour une voyageuse isolée. Elle était sans pitié, fauchant les ennemis du clan et venant à enterrer les corps, sans rite funéraire, sachant qu'ainsi, elle les empêcherait d'avoir le repos. Elle débuta la récolte des objets et leurs restaurations, par le biais des humains qui pouvaient le faire. Murasaki put se faire un peu d'argent, mais les pièces sonnantes et trébuchantes ne l'intéressaient pas, dépensant ce gain pour avoir toujours de quoi entretenir le katana. Pour les rares personnes qu'elle sauvait d'une attaque et qui n'étaient pas effrayées par son apparence, elle ne demandait qu'un repas et une nuit sous un toit, partant avant que le soleil n'embrase le ciel, afin d'éviter de se faire capturer si on venait à la trahir.

Au gré de ses errances, elle acquit plus de savoir sur les différents clans. Mais elle n'avait pas le temps de penser à autre chose que la quête de son clan et aussi s'assurer qu'Hiiro no Yuki naisse dans de bonnes conditions.  Murasaki apprit des choses élémentaires, comme faucher les récoltes, tenir un étale, savoir compter et écrire.  


Hauts faits et renommée de la famille directe
Murasaki est connu pour l'heure sous la forme d'une rumeur, un monstre argenté qui dévore les bandits. Pour les rares écrits anciens des autres clans, elle est déteinte comme une créature argentée aux sabots de fer et nimbée de flamme violette, absorbant le sang de ses victimes de sa longue griffe aussi noire qu'une nuit sans lune.


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Kotoamatsu
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Ven 19 Fév - 10:18
  

Encore un petit effort...

Voici une présentation intéressante et le premier Tsukumogami qui se décrit sous nos yeux en ces lieux.

Pour la majeure partie de cette création, il n'y a rien que nous ayons à redire, mais il subsiste cependant certains points que nous aimerions voir évoluer ou changer afin de rendre possible la naissance de ce personnage au sein du monde qui est le notre :

Dans un premier temps, le concept de ronin n'a pas cours au sein de l'univers de jeu. Quand bien même nous pourrions considérer qu'il puisse exister, il s'agit donc de Samouraï sans maître... Autrement dit, Au Kogoten, de simples bandits ou hors la loi qui sont évidement pourchassés. Du coup, il est étonnant de lire que Murasaki se considère comme telle, d'autant plus lorsqu'il est fait état de sa volonté de poursuivre la quête des Manjushage (en plus de ses autres priorités).

Dans un second temps, puisque nous parlons des Manjushage, il est fait état de ce détail, dans la section reservée aux clans des annexes :
Kotoamatsu a écrit:Depuis que le le Reitekina Tochi s'est bâti au-dessus des cendres du domaine du Lycoris rouge, aucun Yōkai n’a été intégré aux rangs des Manjushage. Les rapports entre les créatures spirituelles et les survivants sont très ténues.

Le fait qu'un Yokai fasse parti de ce clan n'est pas impossible pour autant, mais alors il doit remonter à l'époque où son intégration au sein du Lycoris-rouge puisse encore être probable, à savoir avant les évènements qui ont conduit à l'extermination des disciples de Saruta-Hiko. En d'autre terme, il faudrait peut être adapter ton récit afin de dépeindre une yokai qui aurait approximativement 219 ans (100 ans en tant qu'arme + 119 en tant que tsukumogami) au moment de l'ère de jeu (1277).

Pour le reste, comme annoncé plus haut, nous parvenons sans mal à trouver toutes les justifications à son existence. Donc il ne tient qu'à ces deux détails de se voir modifiés afin qu'elle puisse progresser au Kōgoten ! Si tu as la moindre question ou demande d'aide, n'hésites pas à contacter notre équipe d'administration composée de Tetsuko Kazuo et Kougen Hibiki que tu trouveras aisément sur le Discord du forum ou directement par le chemin de leur boîte de message privé !
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Heiwana Murasaki
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Ven 19 Fév - 16:57
  
Les corrections ont été faite, j'ai continué à dérouler l'histoire de base jusqu'à l'ère présent, rajouté un peu de ligne de caractère et aussi mit un peu plus de ligne sur la partie haut fait et renommé pour les autres clans.
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Kotoamatsu
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Ven 19 Fév - 17:42
  

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Bienvenue à Kōgoten. Maintenant que tu es validé, tu es vivement encouragé à ouvrir ton carnet de jeu afin d'établir un résumé pour les autres joueurs ainsi qu'un suivi RP. Si ton personnage est lettré, tu peux également ouvrir un sujet de correspondance dans lequel d'autres personnages pourront t'écrire. Enfin, tu peux ouvrir une demande de RP sur le forum ou directement sur notre Discord.

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