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Ouka Izaya
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Mar 31 Aoû - 16:22
  
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  • OUKA Izaya

  • Homme, 37 ans.

  • Daimyô Sakura, tout nouvellement nommé.

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" Tu es né libre dans une prison dorée. Ton envol, tu l’auras par l’excellence. Si un jour on peut tout te prendre, on ne t’enlèvera pas la perfection de tes réussites.  " (Ouka Izaya, à sa fille.)


Bénédiction / Pouvoir
Kiseki no hyôshi (奇跡 の 拍子 - Le tempo du miracle)

Découvert tardivement pour un homme qui n'en avait jamais eu besoin, le recours à la bénédiction d'Uzume provoque en toi la capacité silencieuse de faire varier les émotions et humeurs chez ceux qui t'approchent. Un appel silencieux, puis en conservant les lèvres closes, tu viens modifier ce que ceux qui t'entourent ressentent. Comme une réponse silencieuse de cette utilisation, il semblerait que la tache dans tes iris semble s'illuminer, rendant parfois tes yeux étranges.
Tu n'as pas la possibilité de créer quelque chose de nouveau chez tes cibles, uniquement d'entraîner une fluctuation positive ou négative d'une humeur sélectionnée dans la multiplicité qui fait de l'humain une créature complexe émotionnellement. Ainsi, par cette bénédiction de la Déesse de la gaité, tu peux faire osciller une humeur, l'intensifiant ou l'attenuant.
Cette bénédiction a un effet à maximum dix pas autour de toi, en te gardant comme point central. Tu peux cependant limiter l'utilisation du don à une seule personne, lui faisant gagner en efficacité et en puissance, alors que l'étirer jusqu'à la limite du cercle d'effet la rend plus fragile et la variation provoquée plus légère.
La variation que tu choisis d'imposer par l'usage de ce don est intrasèquement liée à toi, venant à agir sur ta propre personne en échange de la fluctuation chez ceux qui en sont la cible. Si c'est du calme que tu choisis de faire gonfler chez ceux qui t'entourent, c'est ton propre apaisement que tu vois diminuer jusqu'à potentiellement disparaître. Si de colère tu réduis l'effet chez ceux que tu cibles, c'est en toi qu'elle grandira jusqu'à te ronger. Ainsi, chaque utilisation que tu fais de ton don te déséquilibre en termes d'humeurs et d'émotions, risquant à tout moment de te faire perdre pied sur le contrôle que tu as obtenu de toi-même.
Plus tu puises fortement dans la capacité de ton don, et plus le déséquilibre perdure pendant plusieurs jours, te rendant nerveux et fatigué de prime abord, mais pouvant te pousser jusqu'à la fuite, l'isolement voire même la paranoïa, en plus des émotions dont tu t'es chargé ou privé.


Physique & caractère
Quelle tristesse que d’apparaître dans le regard des autres comme une simple façade de ce qui brûle au fond de soi.

Tu es né Ouka, et comme tous les représentants du descendant de celui qui fut aimé du Kami de la gaité, tu as toujours eu une place à part, un œil distant et une position élevée par rapport au reste du peuple. Si tu ne t’es jamais vraiment mêlé à ceux que ta famille dirigeait, tu as appris à paraître et apparaître, à parler et être entendu, à ravir et inquiéter ceux de ta nation. L’image que tu donnes de toi-même à ceux qui sont si éloignés de toi que tu n’en perçois que le bruissement de la vie et le murmure des mots est une carapace que les chuchotis ne peuvent qu’envisager.

La silhouette qu’ils distinguent est d’une hauteur plus que respectable. Si tu n’as rien à faire valoir face à des titans tel le Daimyo des camélias, tu n’as pas à rougir de la taille qui est tienne. Fin et élancé, les chants des oiseleurs critiques peuvent te faire passer pour un homme qui n’a pas la stature d’un guerrier et… cela n’est pas entièrement faux. Tu n’es pas musclé de cette façon si voyante que certains hommes arborent. Ton corps est plus aérien que pesant et si tu devais faire allégeance, ce serait au vent et non à la terre.

Une peau hâlée d’un homme qui aime le soleil et la nature, tu portes des yeux d’un mordoré certain, qui a cette faculté hypnotisant de donner la sensation de lire à travers le regard d’un autre. Pendant tes sorties publiques, c’est ce regard qui a été plus d’une fois dépeint comme aussi beau et froid que de l’or. Certains y voient un sérieux hérité de la prestance et de la retenue du premier à porter ton nom. D’autres, au contraire, ont préféré croire que cela faisait de toi un être calculateur et renfermé. Il est fort probable que les uns et les autres aient vu juste à leur manière.

De tes cheveux d’un brun doux, tu tiens la particularité de ta mère qu’ils aient une fâcheuse tendance à prendre des reflets presque feus sur les longueurs quand l’été arrive. Celle qui t’a offert la vie trouve cela parfaitement charmant, et nombre sont ceux et celles qui partagent cet avis. Les mauvaises langues diront simplement que cela t’effémine plus que ta silhouette ne le fait déjà. Avec ceux-là, tu ne peux qu’être d’accord, quand bien même tes lèvres pâles restent toujours closes et détendues quand tu parais devant eux.

Ce n’est que récemment que les murmures qui soufflaient sur ton compte, et que tu n’as jamais écoutés, ont cessé. Parce qu’en te présentant à ce défi que ton cousin avait lancé, tous pensaient savoir l’issu de l’échange. Il était meilleur que toi aux armes, mais personne n’avait envisagé que tu lui serais supérieur à la technique et la stratégie. Là où les mauvaises langues attendaient que tu luttes puis perdes, tu es parvenu à mettre fin au combat public en quelques minutes. Tu as imposé ta victoire avec sagesse contre un homme qui était venu enflé d’assurance, ayant, lui aussi, trompé ses yeux dans l’image que tu offrais. Ce jour-là, tu as probablement effacé en partie l’image bien trop douce que tu offrais à tes sujets, prouvant de quoi tu étais capable le moment venu.


Quel bonheur pour un parent, que de voir l’accomplissement d’une existence prendre vie dans la chaire de sa chaire.

C’est en t’approchant que certains détails paraissent prendre vie. Dans la sphère privée, et au cœur de cette famille qui a forgé ce que tu es aujourd’hui, tu deviens un être différent des murmures lointains. C’est en toi que l’on a déposé les espoirs d’une branche qui n’a jamais pu guider son peuple, quand bien-même elle l’aimait de tout son cœur. Fort de ce poids, tu as su développer ton corps pour le soutenir. Si de muscles tu es pourvu, seuls ceux qui t’approchent, qui auront peut-être la chance de te voir t’entraîner, de laver ton corps ou de partager ta couche le sauront. Tu es vif, d’une puissance qu’on ne détecte pas tout de suite. Si tu ne peux rivaliser en force brute contre un guerrier accompli, tu as su développer ta vitesse et ta tactique pour gagner quand il le faut. De ce côté, d’ailleurs, tu préfères bien plus un combat psychologique à la rudesse d’un combat physique. Amateur de jeux de stratégie, plutôt que d’affrontements armés, tu souhaites protéger ton peuple par ton esprit et non tes muscles.

Quand ta mère pose son regard si brulant malgré la fatigue due à son âge dans l’or de tes yeux, elle y discerne également quelque chose que seuls les plus curieux et observateurs remarquent. Une tache plus sombre dans ton iris droit. Comme si de l’ambre s’était figé dedans, donnant cet aspect un peu asymétrique à ton regard, lui conférant probablement cet éclat qui met mal à l’aise ceux qui croisent ton regard sans discerner la tache. Tout cela n’est rien de plus qu’un défaut de naissance, vois-tu, mais c’est probablement l’étincelle qui marque l’unicité de ton être, alors tu as décidé de l’aimer et de l’apprécier… d’en jouer et de l’accentuer.

Ceux qui te sont proches savent combien tu prends soin de ton apparence. Si tu n’as jamais eu le goût du luxe en lui-même, d’afficher ton rang de manière ostentatoire, tu portes un amour certain pour être toujours parfaitement vêtu. Préférant les vêtements simples et n’entravant pas la légèreté de ton corps, tu affiches le mon des Ouka sur fond du rose d’un pétale de sakura. Si d’habits militaires, tu possèdes, ils ne sont sortis qu’en occasions marquantes et le nécessitant. Non pas que tu renies l’héritage militaire qui est le tien, mais bien que la tenue martiale ne t’est pas agréable à porter.

Avec ton accession au pouvoir, ceux qui gravitent à la cour ont pu craindre à juste titre que tu ne sois qu’un pion. Visiblement obéissant, tu as fidèlement servi les intérêts de tes parents, et ainsi de la branche secondaire des Ouka. Pourtant, si cette crainte existe dans ceux qui ne portent pas ton sang, ceux qui t’ont donné la vie et formé en porte le même reflet. Si tu as toujours obéi et accepté les grandes lignes dictées par tes parents, tu n’es pas leur marionnette et ils le savent. Comme le vent, on peut te canaliser, te pousser à donner de l’énergie à certains rouages, vois-tu, mais l’on ne peut te contraindre, t’arrêter ou te détourner. Tu es libre, c’est une chose qu’ils n’ont jamais acceptée et qu’ils préfèrent ignorer chez toi. Jusqu’à aujourd’hui, c’est une chose que tu n’es pas revenu mettre sous leur nez, mais que tu n’occulteras pas non plus, encore moins avec ton âge avançant vers une maturité certaine.

Ta volonté est pourtant de fer, lorsque tu décides de la faire valoir. Droit et assuré, tu as eu presque quarante années de vie pour apprendre à réfléchir tes actes, d’une part, mais également croire sincèrement dans tes décisions. Quand ce visage hâlé, si calme, se crispe d’une légère tension, laissant découvrir des rides légères qui se forment sur ta peau, ceux qui te connaissent savent que tu ne plieras pas. C’est ainsi que tu t’es détourné du choix de tes parents pour le sort de ton cousin, et que ceux qui craignaient que tu ne sois qu’un pion ont compris que tu étais bien décidé à prendre les rênes en main. Parce que c’est le cas, vois-tu. Tu veux guider ton peuple vers le meilleur que tu lui souhaites.


Quelle étrangeté que de ne se savoir libre qu’en observant son reflet, dans le creux d’un miroir d’étain, lorsque la solitude vient vous prendre.

Il n’y a que dans le silence rassurant de tes appartements que tu redeviens celui que tu as décidé d’être, lorsque d’Izaya tu as pris le nom. Tu n’es pas un homme chaleureux, au grand dépit de ta famille et à la critique de ceux qui veulent que tu représentes parfaitement la Déesse de la gaité. D’un calme maîtrisé, tu es davantage un amoureux des belles choses qu’un créateur de beauté. Tu te plais à savoir que tu peux trouver l’unicité d’un moment ou d’un art dans son plus petit détail. D’un mouvement parfait des danseurs d’Uzume, au sourire tendre d’une femme inconnue, en passant par le mouvement rapide d’une épée d’un samouraï dévoué à son art. Ce n’est pas de glace qu’est fait ton coeur, mais d’une retenue certaine, pour éviter de souffrir d’un élan trop brûlant.

Comme l’a voulu ta famille, et puisqu’il était de tradition que l’épée soit l’art de votre famille, tu as appris à la manier. Malgré tout, et même si cela a déçu la volonté de tes parents, tu n’as jamais égalé les plus grands bretteurs aux couleurs des cerisiers fleuris. Tu te défends, tu es capable de gagner, tu as même probablement un jeu de lame élégant, mais tu n’es pas un maître, loin de là. Il te faut même encore aujourd’hui te tenir à niveau dans cet art pour n’avoir à rougir devant les tiens. Ce qui est, par contre, devenu ton moment, ton bonheur et la perfection de tes gestes est bien plus pur, bien moins présomptueux. Tu as porté au rang d’art l’arrangement floral, connu sous le terme d’ikebana. Bien loin de l’aspect militaire tant espéré par ta famille, tu as fait de ta spécialité l’apport d’une essence aromatique, d’une branche de sakura, ou d’une fleur unique dans une composition, traduisant parfaitement une ambiance ou une pensée, un sentiment ou une émotion. Donnant à la composition une dimension qui sait être appréciée de ceux qui l’observent avec bonheur et qui parait idiots à celui qui, infortuné, n’a pas été éveillé à cet art silencieux.

Conscient de tes défauts, tu n’as jamais cherché à les effacer. Tu es devenu un solitaire, acceptant avec difficulté de laisser les autres s’approcher de toi. Si tu n’es pas paranoïaque, tu es une méfiance certaine avec ceux que tu ne connais pas. Affable et poli, tu n’en restes pas moins froid et distant, et lorsque quelqu’un a le malheur de te déplaire ou de te déranger, tu es devenu maître dans l’art de lui faire ressentir sa présence comme telle. Tu n’ordonneras jamais à quelqu’un de quitter ta vue, mais ton attitude sera si piquante et douloureuse là où tu sentiras ses faiblesses, qu’il aura tôt fait de se retirer pour ne pas s’offrir comme une proie sans défense au tranchant de ton caractère.

On ne peut qu’accepter ta complexité et faire avec. C’est à l’image de cette face presque trop amène que tu offres à ton peuple, et qui a convaincu ton cousin qu’il pouvait te défier sans risque. Tu n’es pas simple à comprendre, tu sonnes comme un mystère qui dérange autant qu’il intrigue, mais c’est tel que tu es. Tu as choisi de faire paraître l’assurance pour cacher la douleur. Que ce soit physique  en cette cicatrice qui entoure ton épaule gauche porteuse d’un vieux souvenir détestable. Tu ne sais d’ailleurs plus aujourd’hui si c’est l’articulation qui est lancinante ou la colère de l’échec. Ou celle, psychique, de la solitude te pèse plus chaque jour.

Tu n’es pas un homme bon, c’est une chose que tu as apprise avec les épreuves et la douleur. Tu es capable de colères formidables qui ne laissent que d’intransigeantes personnes capables de te faire face sans trembler. Si de retenue tu as fait ton manteau, c’est pour cacher ce spectacle hideux aux yeux de ceux qui s’en feraient un festin. Tu n’as que si peu d’espoir dans l’amour que tu es devenu lointain des sentiments. Si tu dois apprécier, aimer, souhaiter, tu le fais dans l’art et la beauté des choses, plutôt que dans les femmes qui pourraient attirer ton regard. Quand il s’agit de ceux que tu aimes, tu es devenu d’une possessivité extrême, et tu n’as pas besoin qu’un sage t’observe pour savoir qu’il s’agit là de la peur la plus profonde en toi : finir seul. Coup du sort ou choix conscient mais désormais ces personnes sont bien peu nombreuses. Parce que c’est là où ton chemin te mène. À chaque année qui passe, chaque obstacle que tu franchis, seul le silence se fait compagnon de route. Tu as beau être à la place que tu espérais avoir un jour, tu n’es pas heureux, mais tu sais parfaitement le cacher. Là est la force du plus bel arbre du Kôgôten, non ? Paraître magnifique, même lorsque son tronc est entaillé.

Parfois, quand tu regardes ton reflet dans le miroir d’étain, Izaya, tu ne te reconnais plus. Tout ce que tu vois, tu aimes, tu vénères et bénis ce sont les traits que tu partages avec ta fille, parce qu’elle est ta plus belle victoire, la plus glorieuse de tes réussites. Si distant tu peux être vu, pour elle et avec elle, tu reprends vie. Tu deviens un homme… non que dis-je, un père.


Héritage
Bien que Ouka, tu proviens de la branche secondaire de la famille, qui n’a jamais été appelée à prendre le titre de Daimyô jusqu’à aujourd’hui. De ce fait, avant de songer aux droits que ce titre te confère désormais, tes parents t’ont avant tout désigné seul hérité du domaine familial, résidence secondaire, car tu es leur unique fils. Ce domaine ne se trouve guère loin de la capitale Atsuihi, dans la province du Kanzen et tu as pour habitude de t’y rendre une ou deux fois dans l’année.

Tu possèdes deux sabres parfaitement différents l’un de l’autre, qui ont tous les deux un usage et une volonté différente.
¤ Le premier, offert par ta mère, est un sabre d’apparat. Il est probablement la pièce la plus ostentatoire que tu possèdes, mais aussi la plus précieuse et magnifique. Forgée par le des meilleurs artisans sakura, tu l’arbores pour les cérémonies officielles.
¤ Le second, à vocation guerrière, t’a été offert par ton père. Il est, somme tout, d’une banalité affligeante par rapport au premier, sauf pour ceux qui en connaissent l’origine. En effet, cette pièce a été forgée par l’un des artisans d’armes les plus réputés du Kôgôten. C’est avec cette arme que tu t’es présenté au défi de ton cousin et que tu as gagné.


Histoire
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ACTE I : Miracle
*Un palais, dans l’aile de la famille à qui il appartient, les ombres sont grandes, les torches s’éteignent. Dehors, la toute première neige de la saison a commencé à tomber en début de nuit, et tout est devenu blanc. Au bout du couloir, une porte. Par la porte, soudainement, les hurlements d’un nouveau-né*

Il n’y avait pas d’autres lieux possibles pour que tu voies le jour. En Ouka, et premier fils de la nouvelle génération, ton arrivée était attendue avec beaucoup d’espoir par tes parents, et beaucoup de joie pour le reste du peuple sakura. Ainsi, dans la chambre de ta mère, dans l’aile qui avait toujours été offerte à la branche secondaire de la famille, tu vis le jour en hurlant à t’en déchirer les cordes vocales.

Ce fut une naissance facile, et bien vite, après t’avoir nettoyé et enveloppé d’un linge, on te mit dans les bras de ta mère. Tu étais… parfait dira-t-elle plus tard. À terme, déjà quelques épis bruns sur la tête, ces yeux sombres, mais qui s’éclairciraient rapidement. Un garçon. Une fierté. Un espoir. Elle n’eut même pas à se concerter avec son époux pour savoir ce que tu étais. Un miracle ! Ce fut par ce prénom que l’on te nomma Kiseki.

Petit être recroquevillé au creux des bras d’une mère qui t’aimait de toutes ses fibres, tu étais encore paisible, mais bien vite, cela serait différent. Tu ne le savais pas encore, mais ta naissance était toute particulière, puisque le Daimyô actuel, le frère de ta mère, n’avait pas encore de descendance. En quelques secondes, tu avais pris pour tes parents l’incarnation même d’une volonté qui avait été la leur : être amené à guider le beau peuple du cerisier !

Pour cela, et alors que tu te nourrissais pour la première fois, elle commença à parler avec son époux, de ce qu’il faudrait mettre en place. Bébé innocent
; telles des bonnes fées, ils étaient en train de dicter  au-dessus de ta tête fripée le but qui serait le tien et les contraintes que tu devrais endurer. Ils savaient que tu serais assez fort parce que tu étais leur enfant, parce qu’ils t’aimeraient et te donneraient l’endurance de le faire.

Lâchant un bâillement, tu vins couvrir tes yeux de ces toutes petites mains maladroites, recueillant sans le vouloir les larmes de joie de celle qui t’avait donné la vie. Ce que personne ne savait, à ce moment-là, c’est que tu n’étais pas appelé à devenir celui qui guiderait le peuple, mais juste un conseiller de l’ombre. Personne, et puisque personne ne le savait, tous feraient de leur mieux pour atteindre ce but.
« Tout le monde savait que c'était impossible à faire. Puis un jour quelqu'un est arrivé, qui ne le savait pas, et il l'a fait. »



ACTE II : Déception
*Le domaine familial, fin de journée. Dans la cour, des hommes rangent ce qui a servi à l’entraînement du petit maître. La maison, elle, est silencieuse comme elle l’est toujours. Le père est resté au palais pour conseiller son beau-frère. Dans la chambre du haut, la mère pleure, un verre d’alcool trop fort pour elle dans les mains*

Ta journée avait été la même, que tu sois au Palais Ouka ou dans la résidence secondaire de tes parents. Le matin, des érudits provenant d’un peu partout, t’enseignait l’art de parler, de réfléchir, de te tenir. On t’enseignait la stratégie et la logique. On cherchait à te faire comprendre des faits, des ordres, des devoirs que tu ne pouvais qu’apercevoir de ton jeune âge. À peine huit ans, vois-tu, mais l’innocence et la candeur des enfants t’avaient quitté. Un petit prince silencieux et obéissant, voilà ce que tu offrais aux autres. Et si tu n’en étais pas heureux tous les jours, s’il t’arrivait de pleurer, de réclamer autre chose, l’amour que te portaient tes parents suffisait à calmer ces tensions.

Ce fut en remontant vers ta chambre, après avoir lavé ton corps fatigué et sali par les entraînements au combat, à l’endurance et aux armes, que tu la découvris. Ce ne fut qu’un son lointain, étouffé, mais un fils ne pouvait ignorer les sanglots de sa mère, aussi infimes fussent-ils. Ce fut un brise-cœur que de la trouver dans cet état dévastée et fatiguée par un chagrin qu’elle ne chercha pas à te cacher. Tu étais assez grand, assez mature… assez solide pour entendre ses mots, voilà ce qu’elle se dit.

La consoler, pour finalement entendre ses explications forment probablement ton plus lointain souvenir. Tu ressens encore le moelleux du coussin sous toi, et la chaleur de son buste. L’odeur de ses larmes et l’éclat dans son regard. Tu avais huit ans, lorsqu’elle accepta de t’expliquer que ce cousin, né quelques mois auparavant, te prendrait ce que l’on t’avait fait miroiter devant le nez depuis petit. Ce garçon était le fils du Daimyô en place et serait son héritier, toi, tu serais le conseiller avisé qui pourrait le soutenir.

Ce jour-là, alors qu’elle t’expliquait cela, et que tout ton univers s’effondrait, tu te sentis mal. Alors qu’elle pleurait à nouveau, te soufflant, encore et encore, que tu n’avais rien fait de mal et qu’elle aurait été si fière que tu aies cette place, tu ne pus ressentir ce qu’elle ressentait. La douleur au fond de toi fut de la honte, parce qu’en t’annonçant cela, elle te libérait sans le savoir. Du soulagement, voilà ce qui emplit ton âme.
« Échanger une souffrance contre une autre est parfois un aussi grand soulagement que sentir l'arrêt de la souffrance. »


Acte III : Espoir
*Une rue de la capitale rose, et du passage. Parmi la foule, les cris et la joie, des murmures et quelques regards curieux. Au bout de la rue, un théâtre et à l’intérieur, cet adolescent qui tente de prendre sa vie en main, comme il l’entend.*

Tu as 13 ans, et tu as pris pour habitude de fréquenter les théâtres et représentations publiques. Tu aimes l’art et puisque tu n’as pas à suivre tous ces enseignements idiots pour devenir Daimyô, tu t’échappes de plus en plus du palais Ouka. Bien entendu que ça ne plait pas à ta mère, mais personne ne parvient à te faire entendre raison. Pire encore parce que, lorsque tu es présent pour tes cours, tu t’en sors toujours à merveille, comme si tu avais une facilité pour tout ce que tu ne feras jamais.

C’est probablement l’époque la plus heureuse de ta vie. Tu cesses d’être silencieux pour vivre, profiter. Tu aimes la musique, tu acceptes même de t’y essayer sans avoir l’envie de le pousser à l’extrême. Et puis, ce jour-là, en sortant du théâtre seul, et en emportant ta volonté de profiter de la journée en refusant d’accepter qui tu es, il se passe quelque chose.

Il s’agira d’une tentative de meurtre, hurlera ta mère. C’est une déclaration de guerre à la famille, annoncera ton père à son beau-frère. Ce n’est qu’un stupide accident, souffleras-tu, devant tous, désarmant le conflit avant qu’il ne naisse. Parce que sur le chemin du retour, des hommes te barrent la route. Ils ne t’en veulent pas à toi, mais à ce que tu représentes. Tu es de la famille Ouka, mais tu te mêles à eux comme si tu n’avais rien à faire de mieux. Peut-être sont-ils jaloux, sûrement ne peuvent-ils comprendre. Ce qui est certain, c’est que tu sais au fond de toi que tu te dois de réagir avec calme et compréhension, mais que tu les provoques. La blessure que tu récoltes à l’épaule gauche n’est que méritée.

Ce jour-là, lorsque tu rentres au palais avec l’épaule abîmée, tu diras ne pas avoir mal au bras et c’est vrai. Ton coeur, lui, par contre est en morceau. Tu as cru pouvoir être libre, mais tu viens de découvrir combien tes parents avaient raison. On ne renie pas qui l’on est, et toi, Kiseki, tu es un Ouka. Comme une compréhension silencieuse, tu acceptes de reprendre tes cours dans le silence et le contrôle de toi-même qu’on t’a enseigné. Et si tu as pu croire qu’ils avaient tort, tu parviens maintenant à comprendre ce qu’ils n’ont eu de cesse à t’enseigner.

Quand vient ton changement de nom, ton choix est fait. Tu seras celui qui regarde la foule, pas celui qui s’y mêle. Tu deviens Izaya.
« Les enfants commencent par aimer leurs parents. Quand ils grandissent, ils les jugent. Parfois, ils leurs pardonnent. »



ACTE IV : Ayaka
*Là encore, le domaine familial en périphérie de la capitale. Dans la salle principale, un bambin glousse et joue sur le sol. L’adolescent est un jeune adulte qui n’a d’yeux que pour le petit corps rosé quand, soudain, la porte s’ouvre dans un fracas si puissant qu’un carreau se brise. Face à lui, une furie brune se met à hurler*

C’est à l’instar de toutes les autres fois, lorsque ton épouse vient déverser sa haine sur toi. C’est une fille d’un notable sakura. Une belle fleur, qui est devenue fanée et ridée par l’amertume qui s’échappe d’elle. Et vois-tu, Izaya, tu ne parviens même pas à réagir avec violence. Tu la regardes, sans trembler et sans perdre ce masque de calme qui te protège de sa violence. Ayaka te déteste, tu le sais et elle te le dit suffisamment souvent pour que tu ne l’oublies jamais. Si votre mariage, alors que tu avais à peine 18 ans, était organisé entre vos familles, il y a probablement eu de l’amour ou au moins de la tendresse entre vous. Et puis le temps est passé, toi, enfermé dans les préceptes de ta famille, et elle, pleine d’espoir et d’envie de réussite, vous n’avez plus réussi à vous comprendre. Elle te hait, pour ta froideur et le retrait bien élevé que tu gardes par rapport à la branche principale de la famille. Elle déteste tes parents et leur volonté de tout commander. Elle ne supporte plus sa vie à vos côtés…

Et vois-tu, alors qu’elle déverse sa haine sur toi, encore une fois, t’arguant que tu n’en as rien à faire, que ta non-réaction est de la suffisance, elle change soudainement d’angle d’attaque. C’est vers le bambin, qui apprend à marcher et babiller, qu’elle se jette. Sa main attrape celui de votre enfant, de la plus merveilleuse petite fille qui existe, et lorsqu’elle la tire avec elle pour quitter les lieux à jamais, partir avec Son enfant, tu réagis, enfin.

Pendant quelques instants, c’est un bouillon de hurlements et de larmes. Tes injonctions la font hurler, tirer sur l’enfant à lui en faire mal. Votre fille, elle, supplie de rester avec toi, elle essaie de te rejoindre. Parce qu’Ayaka la déteste autant que toi, pour tous ces traits que vous partagez. Quand elle retourne sa haine vers sa propre chaire, tu en viens à implorer Uzume de t’aider et de protéger la petite.

Tout à coup, tu es conscient de la volonté presque meurtrière de ton épouse. De sa colère et de la gravité de tout ça. Sans hésiter, comme si tu savais parfaitement ce que tu fais, tu éteins le feu de sa colère, jusqu’à tout sentir bouillonner en toi. C’est si puissant et sans limites, qu’elle lâche la petite et tombe, presque apathique, au sol. Et que toi, tu fonds en larmes.

Un domestique paniqué fait prévenir ta mère, restée au palais Ouka, et lorsque tu reviens à toi, tu es revenu au palais. La perle de tes jours est à tes côtés et ta mère te serre dans ses bras en te promettant qu’elle va régler le souci… Tout cela est si choquant, pour toi, du haut de tes quelque vingt-deux ans bien entamés, que tu acceptes. Encore quelques instants, tu veux simplement pouvoir la laisser te protéger.

Tu ne le sais pas encore, mais d’ici à quelques semaines, Ayaka verra sa santé se désagréger. Les médecins et soigneurs mandés pour l’aider diront qu’un mal s’attaque à ses organes et qu’ils ne savent pas quoi faire. Il ne faudra que deux mois après ce terrible événement pour qu’elle parte dans son silence et que tu comprennes que ce que ta mère a fait.
« Entre l'idée et la réalité, entre l'esquisse du geste et l'acte, se glisse l'ombre. »



ACTE V : Retournement
*Le soleil est au milieu de sa course vers le zénith et après les cris et le bruit dément de la foule, tout est calme. La scène semble figée. Sur la place où le défi a eu lieu, même les humains ont cessé de bouger. Puis soudainement, des murmures osent se faire entendre, alors qu’un homme ramène son épée vers lui, lentement. Il a gagné et il ne le réalise pas, jusqu’à ce qu’une jolie jeune fille fonce à travers les corps pour se jeter sur lui, en pleurant de soulagement.*

Rien n’est devenu plus simple, c’est la première chose à laquelle tu penses alors que tu ramènes l’épée que ton père t’a offerte à tes quinze ans vers toi. Le rouge du sang de ton cousin glisse lentement sur le fer de la lame alors que le destin a été réalisé. Tu viens de gagner contre Torai, que tu servais dans l’ombre comme tes parents avant. Et quand ton regard tombe sur lui, et la large entaille que tu as ouverts sur sa jambe, tu ne cilles pas. Devant les Kamis, tu as gagné ce titre qu’il avait imbécilement mis en jeu, comme si représenter et protéger votre peuple pouvait être misée.

Tu vois à son regard qu’il commence à comprendre ce qu’il a fait. Personne n’aurait pu prévoir, il y a quelques jours, que tu serais celui qui gagnerait dans un duel aux armes, mais vois-tu, Izaya, lorsque ton cousin a craqué à la pression de tes parents, il avait déjà perdu. Malgré leur âge avançant, ceux qui t’ont donné la vie n’ont jamais hésité à faire remarquer ce qu’ils jugeaient comme amoral ou inacceptable pour la famille. Et il n’a jamais pu accepter qu’on le remette en question… ou alors ne comprenait-il pas l’importance de cette attitude que l’on attendait de lui.

Il avait fini par craquer, menacé tes parents et quand tu t’étais dressé calmement devant lui, c’est toi qu’il avait pris à parti. Il voulait se débarrasser de vous, et c’est ce qu’il avait mis en jeu. Votre départ, votre disparition, vos morts en soi, contre quelque chose qui avait assez de valeur pour te faire accepter : son rang. Si sûr de lui et si arrogant, il t’avait même offert le jour et l’heure. Et tu avais fait ce que tu faisais si bien dans son ombre : te remuer les méninges et gagner sur la stratégie avant de ne devoir combattre.

Un matin, très tôt, après une soirée qu’il avait passé tu ne savais où. Tu lui avais laissé le côté ouest de la place et le soleil mou qui gênerait sa vision. Et puis, tu l’avais simplement asticoté, devant tout le monde. Et quand il avait ouvert la bouche pour te répondre, tu avais plongé, bougé, attaqué et… c’était fini. Il n’avait même pas pu attaquer ou se défendre et grand bien soit pour toi, car en combat réel, il te surpassait probablement. Alors tu avais gagné avant que le combat ne commence vraiment. Tu avais usé de son plaisir à parler pour lui rappeler qui tu étais et tu avais gagné.

Abaissant ton épée, tu vis ta fille se précipiter vers toi. Et alors qu’elle se nichait dans tes bras, tu surpris le mouvement de Torai contre elle. De colère. De haine. De honte, sûrement aussi. Tu n’eus qu’à relever la lame dans son dos pour la protéger et pour la première fois face à lui, ton regard trahit la haine que tu lui vouais pour tout ce qu’il t’avait pris. Quand il faudrait choisir sa sanction, ce serait le bannissement que tu lui offrirais. Aucun honneur, aucune fin décente.

Les bras autour de la plus belle fleur de ta nation, il te faudrait désormais avoir les épaules assez fortes et l’âme assez pure. Étrangement, tu regrettas un instant les larmes de tes huit ans, avant de rejoindre le palais Ouka.

« D'autres choses peuvent nous changer, mais nous commençons et finissons avec la famille. »


Hauts faits et renommée de la famille directe
La particularité la plus illustre de ta personne, ou plutôt de ton nom, est l’appartenance directe à la lignée d’Ouka, qui fut aimé de la divinité de la gaité. Ta famille a porté les daimyô des sakuras depuis l’époque où les Kami se sont retirés du Kôgôten et en cela, il n’y a pas plus bel honneur.

De renommée plus dérangeante pour toi et les tiens, il est connu pour tous que les Ouka de la branche secondaire ont toujours eu pour rôle de conseiller et soutenir le Daimyô en place sans jamais régner directement. Ceci dit, si tes parents ont une amertume certaine pour ce fait, cela ne retire en rien le brillant que vous avez apporté au palais et à sa régence.
Si d’art militaire, tu n’as pas fait ta spécialité, c’est dans la stratégie guerrière et même politique que ceux qui t’entourent te connaissent. Tu as d’ailleurs plusieurs titres dans des affrontements amicaux de jeu de stratégie tel le go ou le shogi.

Outre l’aspect militaire de ta personne, tu es connu pour cette dévotion élevée au rang d’art que tu portes à l’arrangement floral. Si cela détonne de ta lignée, tous reconnaissent cette spécialité qui est tienne.


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Âge : 37 ans.
Caste et rang : Daimyô des sakura.
Informations : Quelques 180cm, pour une carrure fine et svelte.
Manie l'épée, bien qu'il préfère largement la tactique et la stratégie pour gagner.
D'un calme presque étrange, il enferme ses émotions en lui pour ne jamais se laisser dépasser par elles.
Père de l'adorable Hanaé (~18 ans).

Kotoamatsu
Premiers Kami de l'univers
Kotoamatsu
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Mar 31 Aoû - 21:15
  
Tu es parti avec un handicap en souhaitant reprendre ce rôle sous le poids des conditions qu'imposaient la cohérence... Et tu t'en es très bien sortie. Ainsi et sans attendre, nous t'annonçons que...

Ton personnage est validé !

Bienvenue à Kōgoten. Maintenant que tu es validé, tu es vivement encouragé à ouvrir ton carnet de jeu afin d'établir un résumé pour les autres joueurs ainsi qu'un suivi RP. Si ton personnage est lettré, tu peux également ouvrir un sujet de correspondance dans lequel d'autres personnages pourront t'écrire. Enfin, tu peux ouvrir une demande de RP sur le forum ou directement sur notre Discord.

Amuse-toi bien !


Bonne chance au troisième Daimyo Sakura crée sur le forum !
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