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Hanabusa Kei
Manjushage
Hanabusa Kei
Manjushage
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Mer 16 Mar - 14:54
  
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  • HANABUSA Kei

  • Femme de 26 ans.

  • Yojimbo / garde du corps / protection de convoi

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« Si c’est moi ou toi, et que ma survie en dépend, ce sera moi. Toujours, quoiqu’il arrive. »


Bénédiction / Pouvoir

Lien d’ombre.

Le lien d’ombre est une Bénédiction des plus simples, détenue par la famille paternelle de Kei, dont son père avant elle était, lui aussi, porteur. Pour Kei, il prend la forme d’un vœu de protection qu’elle prononce, la liant pour une journée entière avec la personne qui reçoit cette parole. Au moment de l’activation de la Bénédiction, un fil sombre, immatériel, vient lier les mains des deux parties quelques instants avant de disparaitre. Ensuite, la Bénédiction s’active pour une durée d’un jour.

Ce qu’elle fait est d’une simplicité enfantine. Toutes ces heures durant, Kei est capable de ressentir la détresse émotionnelle forte ou les blessures physiques de la personne à laquelle elle s’est liée. Dès que cela se produit, elle est alors soumise à une volonté impériale d’intervenir pour protéger la personne à qui elle a donné sa parole. Pendant une quinzaine de minutes, Kei est dans l’obligation de se battre ou d’intervenir d’une manière de protéger la personne coûte que coûte, et ce au péril de sa propre vie s’il le faut.

Quand le lien d’ombre disparait au bout d’une journée, il entraine avec lui une baisse d’énergie considérable pour la jeune femme qui se traduit, chez elle, par un ressentiment puissant, incontrôlable presque, pour l’espèce humaine. Pendant quelques jours, elle a un besoin irrépressible de se tenir loin de ses semblables, préférant se reposer et s’isoler pour méditer et se rendre à nouveau capable de mener à bien son travail d’escorte.


Physique & caractère
« On attend quoi, Miura-san?
-Le garde du corps. Cet Hanabusa qui n’a accepté de voir que le chef de convoi. Je me demande à quoi il ressemble ce type… Marmonne le marchand, en mâchonnant du riz de son onigiri. Je ne lui ferai confiance qu’une fois qu’il se tiendra devant moi et je lui dirai…
-Quoi ? Une voix d’un timbre d’alto, assuré et presque dur les interrompt. Je vous écoute. Les pas contournent les deux hommes et viennent se planter devant leur nez, sans un sourire. Hanabusa Kei, je suis votre escorte. »

La réaction est toujours la même lorsque Kei surgit de cette manière devant quelqu’un, encore plus quand il s’agit d’un boulot de protection d’un convoi. Les hommes restent cois, puis les yeux s’activent et ils se mettent à détailler l’humain qui les observe, l’air si sérieux qu’on ne peut remettre en question son honnêteté. Kei est bien cette petite femme qui leur fait face. Approchant du quart du siècle, elle est habillée du noir des déchus, et porte à la ceinture un long katana dont l’usure du fourreau et de la garde laisse imaginer combien il a servi.

Elle subit l’examen sans trembler, sans même sembler être mal à l’aise par les yeux qui la détaillent tant et si bien qu’elle pourrait être mise à nue par des mains si elles en faisaient autant. Kei n’est pas grande, pas d’une corpulence qui surprend. Fine et vive, il suffit de la voir marcher avec assurance pour comprendre qu’elle sait sa valeur au combat, qu’elle connait ses atouts et que cela lui a assuré la survit depuis toujours. C’est une guerrière, ses yeux perçant laissent imaginer ce qu’elle a déjà vu, ça ne fait jamais aucun doute pour personne.

Pourtant, elle n’est pas laide, pas si masculine qu’elle aimerait le faire croire. Un visage aux traits doux, des yeux verts varient à la lumière du soleil entre le sombre de la vase au vert des feuilles les plus chargées en chlorophylle. Un nez relevé, fin et vif, elle porte ses lèvres toujours serrées, presque pincées, comme si tout venait à l'ennuyer ou l’énerver. Quand on s’éloigne de ces détails, il en ressort qu’il s’agit d’une femme qui vit au grand air. Le visage et la peau marquée du hâle de ceux qui subissent les éléments, elle porte ses cheveux au carré du visage, renforçant la ligne de sa mâchoire. Bruns, libres, ils sont plus souvent emmêlés que bien coiffés. Elle ne prend pas particulièrement soin de se mettre en valeur, mais son expérience lui sert d’aura naturelle pour s’affirmer aux positions qu’elle prend pour les autres humains.

Face aux deux hommes, elle ne craint pas leur regard et malgré une jeunesse notable face aux marchands expérimentés qu’ils sont, elle se tient avec assurance. Elle darde le même regard qu’eux sur eux et c’est en comprenant qu’elle les a trop surpris qu’elle fait un pas vers eux, main sur la garde de son arme. Celui qui s’est interrompu frissonne, mais elle l’ignore pour demander, avec le ton bourru de ceux qui ne parlent pas assez :

« Alors, que vouliez-vous me dire ?! »

Le marchand sursaute presque, quand il se rend compte qu’elle n’agit pas comme elle le devrait. Il n’y a pas de notion de respect, autant dans son attitude que ses paroles, et pourtant elle ne semble pas craindre de perdre son job ou des remontrances. En fait, il faudra qu’il fasse un ou deux voyages avec elle pour comprendre qu’avec Kei, le respect se gagne. Il devient une notion inébranlable de son assiduité au travail, et qu’elle n’a que faire de la hiérarchie. Elle vit pour survivre et faire survivre les autres avec elle, qu’ils soit noble ou eta, d’un clan qui l’accueille comme une héro ou qu’on la repousse comme si elle portait malheur.

« J’ai… j’ai entendu le prix que tu demandes à notre Seigneur, petite ! L’homme se reprend, et grogne. C’est plus cher que toutes les escortes de la ville ! Tu ne te moquerais pas un peu de nous ?!
-Il y a eu des attaques. Répond-elle calmement, les lèvres toujours pincées.
-C’est bien pour ça que l’on prend une escorte.
-Ne me prend pas pour plus idiote que je ne le suis ! L’interrompt-elle en grognant un peu. C’est le principe de l’offre et de la demande. Il y a plus d’attaques, les prix d’escortes grimpent. Si tu veux rentrer voir ta femme en un seul morceau marchand, on me paie et je te protégerai ! »

Elle est agressive, mais sous cet air d’enfant sauvage, on voit parfaitement l’intelligence de sa réflexion. Quand il la verra marchander à leur arrivée en terre sakura, pour refaire son stock et aiguiser/réparer ses armes, l’homme comprendra qu’elle est futée. Elle sait obtenir ce dont elle a besoin par un troc intelligent et qu’elle peut avoir un certain bagout. Un de ses collègues, le voyant l’observer de la sorte soufflera alors : “Et dire qu’elle aurait pu porter fièrement nos couleurs”. Et il a raison, Kei porte en elle le sang du lys noir, mais c’est à la nation déchue qu’elle appartient, affichant des vêtements sombres sans mon.

« Comment tu sais qu’il y a eu plus d’attaques ?! Reprend-il tout à coup, nerveux.
-Parce que je me renseigne, ma parole ! »

Pourtant, elle détourne le regard à la question. Pour lui, ce n’est qu’une marque d’énervement, mais Kei sait qu’elle n’arrive pas à mentir comme elle le devrait. Alors, elle préfère se détourner de la conversation et elle s’en va vers la tête du groupe de marchand. Elle en reconnait un, le bras dans des bandages, qui lui rappelle ce qu’elle a fait la semaine précédente…. Son cœur s’alourdit alors qu’elle ramène ses yeux sur le sol. Puisqu’il faut de l’offre, cachée dans des vêtements d’homme et sous un masque, elle a attaqué les trois convois de la semaine, provoquant pertes animales et blessures humaines, pour que ses tarifs soient acceptés en ville. Parce qu’elle a compris la règle : il faut de l’offre pour que la demande augmente !

C’est un mal pour un bien, mais la jeune femme a compris qu’elle ne pouvait passer outre. Elle n’est ni bonne ni mauvaise, simplement dans une volonté de survie où elle a décidé que sa vie valait bien toutes celles qui s’opposaient à elle. C’est ainsi qu’elle a grandi, et tout en elle est un subtil mélange d’égoïsme et d’entraide, d’acceptation et de refus. Elle sait se plier aux autres et montrer du respect pour ceux qui le méritent, tout en faisant toujours entendre son avis et en refusant les contrats qui ne lui vont pas. Elle s’habille correctement pour cacher dans son dos un immense tatouage qui serait mal vu ici. Elle est un équilibre étrange de sauvage et de citadins si bien qu’on ne sait rien d’autre sur elle. Sa famille est morte, ses proches ont disparu, elle n’a pas de compagnon, pas d’amis. Elle est, et c’est tout.

Et pourtant, si vous grattez un peu la surface, vous pourriez découvrir bien plus. Kei est forte, d’une force que la vie laisse à ceux qu’elle a ébranlés. Quand d’autres s’effondrent, elle ne se laisse pas le choix d’avancer et de tenir bon. Intelligente et pragmatique, elle peut prendre facilement les décisions les plus dures pour le bien d’un groupe (et le sien par extension). Mais ce n’est pas tout. Kei est belle. Belle d’une beauté qu’on ne voit qu’au sourire plein qu’elle offre de plus en plus rarement. Solaire, elle pourrait contaminer une foule, mais elle a oublié comment le faire. Oui, la jeune femme pourrait mener une tout autre vie, c’est la réalité… et elle ne le fait pas. Parce que vivre comme les “civilisés” lui semble tout bonnement impossible.

Kei est seule, et peut-être est-elle vouée à le rester.


Héritage
Toutes les possessions matérielles de Kei se résume au katana qu’elle porte en permanence et qui appartenait à son père, ainsi qu’un collier de sa mère soi-disant. Elle le garde sous ses vêtements sans bien savoir si elle lui porte de l’amour ou de la haine.

Tu possèdes également un étalon ombrageux, du nom de Haku, blanc et d’une bonne physionomie. Si tu sembles le traiter comme un simple animal, tu le considères comme ton seul proche et ton meilleur allié pour combattre.


Histoire
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Les marchands avaient fait un arrêt dans la campagne, n’ayant pas trouvé d’abris pour la nuit. C’était une chose commune pour ces hommes et femmes qui traversaient le Kogoten tout au long de l’année, assurant le transfert des denrées aux besoins des nations. Parmi eux, une silhouette solitaire avait jeté un regard sur l’assemblée qui s’était installé le plus confortablement avant de s’éloigner pour se percher dans un arbre, ses vêtements sombres la rendant rapidement presque invisible aux yeux des curieux.

Les deux marchands qui étaient tombés sur elle au départ de la caravane de vente s’étaient installés au coin du feu et contemplaient l’endroit où elle avait disparu sans prendre de repas. Ils étaient tout d’abord restés silencieux, mais l’alcool aidant, celui qui avait critiqué les prix pratiqués par la jeune femme avait fini par rouvrir la bouche.

« Il n’y a pas à dire, le prix était bien au-delà de l’acceptable. Nous n’avons rencontré personne après plusieurs jours de marche. Je suis sûr que nos compagnons ont été touchés par la malchance.
-Ne dit pas ça Miura-san. Ils ont perdu bien plus d’argent que notre seigneur a payé à cette femme.
-Femme… C’est une gamine, tu as vu sa taille et sa jeunesse ! »

Les deux hommes se contemplèrent quelques instants parce qu’au loin, dans les arbres, un bruit de branche qui craque s’était fait entendre. Au bout de quelques minutes silencieuses, les deux compères reprirent leur discussion.

« Elle a vingt-six ans, ce n’est plus une enfant.
-Comment tu sais ça Tanaka-san ? Tu la connais ? Elle fait partie de ta famille ?
-Non pas vraiment. Une moue gênée se dessina sur les lèvres de celui qui en savait le plus. Sa mère était une cousine éloignée de la famille de ma propre mère. Nous n’avons pratiquement pas de sang en commun, mais mon père m’en a parlé.
-C’est donc vraiment une Kuroryuri en partie ?
-Oui, sa mère appartenait à notre nation, mais elle est tombée sous le charme d’un yojimbo du clan du lycoris. Elle était de faible condition et sa famille savait déjà qu’elle ne pourrait pas faire un bon mariage, aussi a-t-elle fui sa famille pour vivre avec ce… L’homme s’arrêta, sa voix avait pris un peu trop de passion à son goût. Avec ce soldat déchu, et elle a eu un enfant. Une fille… Cette femme.
-Quelle idée de renier sa famille et son clan pour aller vivre sans le sou parmi un clan qui n’en est plus hein. S’étonna Miura-san. Il lui est arrivé quoi à cette femme ?
-Je n’en sais rien, je crois que…
-Elle est morte en couche.»

La voix, calme et légère comme le souffle de la nuit, tout aussi froide aussi, vint interrompre leur discussion. Perchée sur un chariot, au-dessus de leur tête, la jeune femme qui servait de garde à l’expédition de voyage les regardait sans les voir. Accroupie dans une posture qui lui semblait normale, elle avait la main sur la garde de son arme et son visage ne semblait pas troublé d’avoir interrompu leur discussion.

« Ma mère est morte en me donnant la vie.
-Je ne savais pas… Murmura Tanaka-san en baissant les yeux, mal à l’aise par le calme de la yojimbo alors qu’elle parlait de sa famille.
-Pourquoi tu n’es pas revenu vers nous ? Une partie de ta famille est Kuroyuri, tu aurais pu jouir d’une protection et de nos savoir-faire ! Miura-san, lui, était bien décidé à comprendre pourquoi aujourd’hui encore, la guerrière portait le noir de ses ancêtres, sans mon et servant par respect pour son père Nanashi Mumei.
-Ma mère a beau être une membre du clan d’Inari, je n’ai jamais hérité de cette dévotion à votre Kami. Sa tête se pencha sur le côté alors qu’elle semblait réfléchir sincèrement à la question. J’ai voyagé à travers le Kogoten, et mon père a tenu à ce que je découvre la manière de pensée de toutes nos nations, mais je ne me suis senti chez moi nulle part… »

Elle se mit enfin à bouger non pas pour descendre et les rejoindre, comme si elle acceptait de discuter avec eux, mais en s’asseyant sur son perchoir, continuant à darder son regard sombre sur eux. Elle ne prit pourtant pas un air plus agressif, préférant visiblement essayer de les comprendre. La jeune femme savait qu’elle paraissait toujours illogique aux yeux des autres, aussi avait-elle appris à ne plus s’en émouvoir.

« Et ton père ? Il ne voulait pas que tu puisses rejoindre un clan qui aurait pu prendre soin de toi ?
-Mon père ne m’a jamais rien imposé. Répondit-elle calmement. Peut-être que chez vous les parents choisissent pour leurs enfants, mais moi je suis née libre et j’ai grandi sans contrainte. J’ai pu apprendre de lui, et de l’homme qu’il protégeait et qui faisait partie de vos rangs, mais jamais je n’ai subi de contrainte. Chaque peuple de cette terre m’a enseigné comment m’en sortir seule, et aujourd’hui c’est ce que je fais.
-Ah ! Nous n’imposons rien, que crois-tu !
-Si tu le dis. Elle avait souri, moqueuse, sans rentrer plus dans le conflit.
-Qu’est devenu ton père, alors ? Le marchand avait visiblement décidé d’oublier sa retenue et l’interrogeait désormais sans crainte.
-Il est mort en protégeant la vie de celui qu’il suivait.
-Donc tu es seule, maintenant.
-Non. Les hommes la regardèrent étrangement alors qu’elle sautait au bas du chariot, pour se pencher vers eux. Je suis avec vous aujourd’hui, et demain j’accompagnerai un autre convoi. »

Elle lui avait cloué le bec sans le vouloir. Leur souriant comme une enfant, ils n’avaient pourtant pas pu voir cet amusement traverser son regard. L’explication était simple, depuis le départ elle se jouait d’eux et de leurs émotions. Si elle avait été sur le point de rajouter quelque chose, tout à coup d’un cri avait percé. C’est là, en la voyant changer d’attitude qu’ils avaient pris l’ampleur de sa personne. Kei n’était plus une enfant, quand bien même elle était petite et fine, qu’elle se moquait d’eux comme une âme innocente… parce qu’alors que des silhouettes encapuchonnées s’étaient infiltrées dans le convoi, elle avait dégainé son katana élimée et elle avait fondu sur eux. Sous les yeux surpris et inquiet, elle avait combattu sans hésiter, avant que les marchands ne tentent eux aussi de se défendre.

¤ ¤ ¤

« Tu as bien combattu. C’était Miura-san qui s’était approché d’elle alors qu’une personne rinçait et bandait la main de la jeune femme. Je suis désolé d’avoir ainsi jugé ta valeur et remis en question ta présence…
-... Elle releva un regard sérieux sur elle, avant de hocher la tête. Je ne t’en veux pas, et tu as bien aidé, toi aussi. Merci. »

La prochaine fois que la jeune femme accompagnerait se convoi, elle savait déjà que Miura-san serait l’une des personnes qui apprécierait sa présence et pour Kei, c’était tout ce qui comptait.


Hauts faits et renommée de la famille directe
Le nom de ton père, et par extension celui que tu portes aujourd’hui, a été rendu célèbre pour la dévotion qu’il a mise en étant yojimbo d’une personne importante Kuroruri. C’est d’ailleurs au service de cet homme qu’il est mort, le protégeant de sa propre vie !
Toi, Kei, tu as une petite réputation dans ce qui est de l’accompagnement de marchand, tant et si bien que tu commences à avoir des contrats à travers les nations, te poussant sur les routes pour honorer les contrats de ton savoir-faire.


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Âge : 26 ans.
Occupation : Yojimbo, escorte de biens et de personnes.
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Kotoamatsu
Premiers Kami de l'univers
Kotoamatsu
Premiers Kami de l'univers
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Jeu 17 Mar - 14:28
  
Un personnage intrigant qui risque de s'attirer très vite des ennuis ! Mais pourquoi pas si tu te sens de le jouer ainsi !

Ton personnage est validé !

Bienvenue à Kōgoten. Maintenant que tu es validé, tu es vivement encouragé à ouvrir ton carnet de jeu afin d'établir un résumé pour les autres joueurs ainsi qu'un suivi RP. Si ton personnage est lettré, tu peux également ouvrir un sujet de correspondance dans lequel d'autres personnages pourront t'écrire. Enfin, tu peux ouvrir une demande de RP sur le forum ou directement sur notre Discord.

Amuse-toi bien !
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