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Dim 28 Fév - 23:48
- KAMPAI ! s’exclame-t’il pour la énième fois, levant cette tierce coupelle pour la porter a ses lèvres avec cette même grâce devenue rituelle.
D’une traite il avale son contenu avant de vivement reposer le récipient sur la table.
- Aaah sugoooi ! lâche t’il avec un soupire d’aise, un sourire profondément heureux rayonnant sur son visage, tendis qu’il savoure les ultimes parfums de ce délicieux breuvage.
A cela vint rapidement s’ajouter le délicat fumet des nombreux mets tout juste apportés.
Son regard se porte tour a tour sur chaque plat avec un plaisir grandissant et il devint rapidement évident que ses pulsions le disputait a sa raison. Cela était d’autant plus vrai lorsque poisson il y avait.
Le choix enfin fait, il se frotte les mains comme un chat piétinerait avant de passer a l’attaque, son regard s’ouvrant sur une dimension nouvelle, un firmament, constelle de ses propres éclats stellaire attisée par l’émotion et dont l’intensité ne saurait être présentement surpasse, pas même par la plus douces et claires des nuits estivales de Kogoten.
Inutile de préciser que sa préférence alla sans hésité vers les takoyaki et les ikiyaki entre autre...
La saveur des plats ravi tant et si biens ses sens qu’il décrocha brièvement de la conversation.
Seul l’évocation de son nom le rappel de nouveau a la réalité.
Les yeux rond et la bouche pleine tel un gamin pris la main dans le natto, il consulta la tablée avec surprise. Ses iris anthracite depouillées de sa galaxie achevèrent leur course sur l’auteur de la question qui n’était autre que Kazuo.
Cherchant a s’assurer de la bonne compréhension de “l’énoncé” il désigna rapidement Hibiki et lui même en une interrogation silencieuse a l’égard de Kazuo dans le but d’obtenir confirmation.
Il n’attendit toutefois pas que celle ci soit donnée avant d’agir. Un poing devant la bouche il acheva rapidement de mâcher et d’avaler le tout avant d’oser répondre.
- Ahh wari wari*, c’tellement bon…
Il déglutit une nouvelle fois, sentant bien que la bouchée avait certainement été un peu trop volumineuse.
- Pour répond’ a vot’ question j’ai rencontre Hibiki cha-san... se rattrape-t’il prestement avant d’enchaîner.
- … au détour d’un hokora y a de ça quelques temps...
Il sourit a celle-ci prêt a poursuivre avant d’etre subitement saisi par une évidence. Tel un ressort il bondit sur ses pieds regarde en tout sens avec frénésie.
- Soyo ?... Soyo ?!
Plus trace de celle-ci… elle avait disparue, sans doute au moment ou plus personne n’avait prêtée attention a elle.
- ...yare yare* Soyooooo… gémit -il plaintif, déchiré entre le fait de devoir partir a sa recherche et rester en bonne compagnie jusqu’au bout de la nuit.
Faisant volte face l’air on ne peut plus décidé, il rejoint la table.
- Faites sans moi faut qu’j’retrouve ma soeur…
Il avait declamé ces mots avec un air subitement très solennel comme si une mission des plus capitale lui incombait.
- Kazuo sama, Kigiku san, Hibiki sa-chan…
Brèves salutations, même erreur, qu'importe... un sourire malicieux aux lèvres il ajuste l’outre autour de son épaule et s’élance dans la foule a grandes enjambées.
- Jaaaa* ! s’exclame-t’il a leur adresse en guise d’ultime adieu.
Les cimes des grands arbres enfin libérées s’assagissent pour retrouver leur vénérable tranquillité tendis que les lampions cessent de dodeliner pour s’aligner dignement sur leur cordée.
Le vent s’en est allé...
[/color][/i][/b][/color]
D’une traite il avale son contenu avant de vivement reposer le récipient sur la table.
- Aaah sugoooi ! lâche t’il avec un soupire d’aise, un sourire profondément heureux rayonnant sur son visage, tendis qu’il savoure les ultimes parfums de ce délicieux breuvage.
A cela vint rapidement s’ajouter le délicat fumet des nombreux mets tout juste apportés.
Son regard se porte tour a tour sur chaque plat avec un plaisir grandissant et il devint rapidement évident que ses pulsions le disputait a sa raison. Cela était d’autant plus vrai lorsque poisson il y avait.
Le choix enfin fait, il se frotte les mains comme un chat piétinerait avant de passer a l’attaque, son regard s’ouvrant sur une dimension nouvelle, un firmament, constelle de ses propres éclats stellaire attisée par l’émotion et dont l’intensité ne saurait être présentement surpasse, pas même par la plus douces et claires des nuits estivales de Kogoten.
Inutile de préciser que sa préférence alla sans hésité vers les takoyaki et les ikiyaki entre autre...
La saveur des plats ravi tant et si biens ses sens qu’il décrocha brièvement de la conversation.
Seul l’évocation de son nom le rappel de nouveau a la réalité.
Les yeux rond et la bouche pleine tel un gamin pris la main dans le natto, il consulta la tablée avec surprise. Ses iris anthracite depouillées de sa galaxie achevèrent leur course sur l’auteur de la question qui n’était autre que Kazuo.
Cherchant a s’assurer de la bonne compréhension de “l’énoncé” il désigna rapidement Hibiki et lui même en une interrogation silencieuse a l’égard de Kazuo dans le but d’obtenir confirmation.
Il n’attendit toutefois pas que celle ci soit donnée avant d’agir. Un poing devant la bouche il acheva rapidement de mâcher et d’avaler le tout avant d’oser répondre.
- Ahh wari wari*, c’tellement bon…
Il déglutit une nouvelle fois, sentant bien que la bouchée avait certainement été un peu trop volumineuse.
- Pour répond’ a vot’ question j’ai rencontre Hibiki cha-san... se rattrape-t’il prestement avant d’enchaîner.
- … au détour d’un hokora y a de ça quelques temps...
Il sourit a celle-ci prêt a poursuivre avant d’etre subitement saisi par une évidence. Tel un ressort il bondit sur ses pieds regarde en tout sens avec frénésie.
- Soyo ?... Soyo ?!
Plus trace de celle-ci… elle avait disparue, sans doute au moment ou plus personne n’avait prêtée attention a elle.
- ...yare yare* Soyooooo… gémit -il plaintif, déchiré entre le fait de devoir partir a sa recherche et rester en bonne compagnie jusqu’au bout de la nuit.
Faisant volte face l’air on ne peut plus décidé, il rejoint la table.
- Faites sans moi faut qu’j’retrouve ma soeur…
Il avait declamé ces mots avec un air subitement très solennel comme si une mission des plus capitale lui incombait.
- Kazuo sama, Kigiku san, Hibiki sa-chan…
Brèves salutations, même erreur, qu'importe... un sourire malicieux aux lèvres il ajuste l’outre autour de son épaule et s’élance dans la foule a grandes enjambées.
- Jaaaa* ! s’exclame-t’il a leur adresse en guise d’ultime adieu.
Les cimes des grands arbres enfin libérées s’assagissent pour retrouver leur vénérable tranquillité tendis que les lampions cessent de dodeliner pour s’aligner dignement sur leur cordée.
Le vent s’en est allé...
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*wari wari = (informal) sorry
*yare yare = (informal) oh boy / damn
*ja = (informal) see you
- Résumé:
- Jiyuu s'apprête a passer une excellente soirée avant de s'apercevoir de la diparition de Ran alias Soyosoyo et de partir a sa recherche
Messages : 40
Âge : 118
Occupation : Conciliateur/médiateur oeuvrant pour l'harmonie entre les humains et les yokaï
Caste et rang : yokai bienfaisant
Informations : ~~~
• fūri ou tanuki du vent
• apparence androgyne
• plutôt grand et athlétique
• de nature énergique et enjoué
• tatouages changeant selon la saison
• fume et bois sans en subir les "contre-coups"
• la pleine lune tend à le rendre solitaire et nostalgique
• A Goūfuka subsiste la légende d'un Fūri qui aurait béni le village il y a de ça cent et quelques dix années...
•Liens recherchés
Lun 1 Mar - 11:03
Un caprice, voilà ce que cela avait été.
Balayant la liesse environnante et ses compagnons de tablée, Kazuo trouvait le spectacle amusant. Sachant ce qu’il était et représentait, l’ironie de se voir ainsi entouré d’une compagnie si hétéroclite, quand bien même le regard de ses prétoriens se faisait sentir sur lui comme une caresse familière, était assez inédit et rafraichissant en un sens. Et pour l’autre de ces sens… Il tendit la main vers sa propre coupe tandis que chacun vidait la sienne ou appelait à trinquer ensemble. Le Daimyo la porta à ses lèvres, l’esquisse d’un sourire s’inscrivant sur ses traits patriciens avant de laisser s’échapper l’expression qui se répercutait autant entre eux que tout autour à la fois.
Kampai…
Ses yeux retrouvèrent bientôt ceux de la conseillère des Kougen qui imposa plus qu’elle ne chercha subtilement le croisement de leur regard. Plissant les paupières, il manqua de laisser s’échapper un léger rire à la question qui lui fut posée et l’affirmation qui s'ensuivit.
Je n’y manquerai pas. Acquiesça-t-il simplement en soupirant non sans une pointe d’amusement dans la voix.
Les mets étaient disposés et chacun y allait de bon cœur, lui-même s’y joignit aussi, avec une certaine réserve néanmoins. Levant ses prunelles dorées en direction de cette étrange Jiyuu qui représentait à merveille ceux qui profitaient réellement de la fête, il ne manqua point la réponse qu’elle offrit à ses interrogations. La présence de la Kougen à proximité d’un menu sanctuaire ne l’étonna guère et il se rendit compte de la vacuité de sa demande. Il acquiesça brièvement avant de vider sa coupe comme pour signaler que le sujet était clos ou n’avait pas même besoin, finalement, d’être éclairé de quoique ce soit. Mais le Daimyo ne fut pas certain d’avoir été vu, quand il décela l’inquiétude sur le visage de son interlocutrice. Finalement, elle prit congé afin de dénicher sa prétendue sœur perdue, ce à quoi l’héritier de Hachiman n’avait rien à redire, s’étant rendu compte à son tour de la disparition.
Il s’inclina très légèrement pour saluer le départ de la voyageuse pour en revenir à ceux qui se trouvaient encore autour de la table. Chacun avait l’esprit à ses affaires, comprenant alcool ou nourriture à ingérer. Lui-même se décida de se laisser aller un peu plus loin, fredonnant à mesure que la boisson le réchauffait.
Shōjō, Shōjō de l’Océan…
Tu n’auras pas mon verre…
Shōjō, Shōjō de l’Océan…
Qu’es tu donc : buveur ou orang-outan ?
Shōjō, Shōjō de l’Océan…
Tu surgis ainsi de la mer…
Shōjō, Shōjō de l’Océan…
De mon pichet tu n’obtiendras que le néant.
Balayant la liesse environnante et ses compagnons de tablée, Kazuo trouvait le spectacle amusant. Sachant ce qu’il était et représentait, l’ironie de se voir ainsi entouré d’une compagnie si hétéroclite, quand bien même le regard de ses prétoriens se faisait sentir sur lui comme une caresse familière, était assez inédit et rafraichissant en un sens. Et pour l’autre de ces sens… Il tendit la main vers sa propre coupe tandis que chacun vidait la sienne ou appelait à trinquer ensemble. Le Daimyo la porta à ses lèvres, l’esquisse d’un sourire s’inscrivant sur ses traits patriciens avant de laisser s’échapper l’expression qui se répercutait autant entre eux que tout autour à la fois.
Kampai…
Ses yeux retrouvèrent bientôt ceux de la conseillère des Kougen qui imposa plus qu’elle ne chercha subtilement le croisement de leur regard. Plissant les paupières, il manqua de laisser s’échapper un léger rire à la question qui lui fut posée et l’affirmation qui s'ensuivit.
Je n’y manquerai pas. Acquiesça-t-il simplement en soupirant non sans une pointe d’amusement dans la voix.
Les mets étaient disposés et chacun y allait de bon cœur, lui-même s’y joignit aussi, avec une certaine réserve néanmoins. Levant ses prunelles dorées en direction de cette étrange Jiyuu qui représentait à merveille ceux qui profitaient réellement de la fête, il ne manqua point la réponse qu’elle offrit à ses interrogations. La présence de la Kougen à proximité d’un menu sanctuaire ne l’étonna guère et il se rendit compte de la vacuité de sa demande. Il acquiesça brièvement avant de vider sa coupe comme pour signaler que le sujet était clos ou n’avait pas même besoin, finalement, d’être éclairé de quoique ce soit. Mais le Daimyo ne fut pas certain d’avoir été vu, quand il décela l’inquiétude sur le visage de son interlocutrice. Finalement, elle prit congé afin de dénicher sa prétendue sœur perdue, ce à quoi l’héritier de Hachiman n’avait rien à redire, s’étant rendu compte à son tour de la disparition.
Il s’inclina très légèrement pour saluer le départ de la voyageuse pour en revenir à ceux qui se trouvaient encore autour de la table. Chacun avait l’esprit à ses affaires, comprenant alcool ou nourriture à ingérer. Lui-même se décida de se laisser aller un peu plus loin, fredonnant à mesure que la boisson le réchauffait.
Shōjō, Shōjō de l’Océan…
Tu n’auras pas mon verre…
Shōjō, Shōjō de l’Océan…
Qu’es tu donc : buveur ou orang-outan ?
Shōjō, Shōjō de l’Océan…
Tu surgis ainsi de la mer…
Shōjō, Shōjō de l’Océan…
De mon pichet tu n’obtiendras que le néant.
- Spoiler:
- Comme chacun, Kazuo profite peu à peu de la soirée, s'allégeant du poids de son devoir à mesure que les verres se succèdent. Après quelques interactions encore, il finit par pousser la chansonnette et de laisser le festival perdurer encore longtemps.
[FIN]
Messages : 201
Âge : 41
Caste et rang : Daimyo du clan Tsubaki
Informations : • Très grand, mesure 2m15
• Parait pensif en toute circonstance
• Porte cinq mon sur l'ensemble de ses atours
• Couvre ses mains de bandages la plupart du temps
~Path of duty~
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